Je vais vous aider à prouver les erreurs sur votre fiche de paie.


Repérer une erreur de paie pendant un arrêt maladie, c’est une chose. La faire reconnaître par un employeur sûr de lui, c’en est une autre.

Binta
Binta
vous aider à prouver les erreurs sur votre fiche de paie.

Pourquoi est-ce si difficile de faire reconnaître une erreur de paie pendant un arrêt maladie ? 🤯

L’erreur, vous l’avez identifiée (grâce à l’offre de niveau 1).

Ce n’est plus une impression. C’est un fait.

Il manque de l’argent sur votre paie.


Mais maintenant, il faut le prouver.

À votre employeur. À la RH.

À ceux qui vous ont déjà répondu que “tout est bon”.

 

➡️ Et c’est là que tout se complique.


Des erreurs fréquentes, mais rarement reconnues. 😤​

Chaque semaine, des femmes en arrêt découvrent qu’on leur a versé moins que ce qu’elles devaient toucher :

👉 Un maintien de salaire stoppé trop tôt

👉 Des absences déduites deux fois

👉Des indemnités journalières encaissées à tort par l’employeur… mais jamais reversées

 

Ce ne sont pas de petits écarts.

Ce sont des erreurs énormes, parfois de plusieurs centaines d’euros.

Et pourtant, elles ne sont presque jamais régularisées.

 

↘️​​ Pourquoi ?

Parce que l’immense majorité des salariées ne sait pas quelles preuves présenter à leur employeur pour démontrer une erreur qu’il nie catégoriquement. 


Les documents en votre possession ne prouvent rien. Pas sans travail d’analyse. 😩

Fiches de paie, relevés de versements, convention collective…

Ces pièces sont utiles, mais elles ne suffisent pas en l’état.

Elles sont incomplètes, parfois contradictoires.

Et surtout : aucune ne permet d’établir les liens nécessaires par elle-même.

 

💡 Pour prouver une erreur de paie, il faut analyser, croiser, recouper.

Et ça demande un vrai travail d’analyse.

 

➡️​ Exemple 1 : Les IJSS non reversées

Une ligne “IJSS” sur votre bulletin ne suffit pas.

Il faut reprendre chaque fiche de paie, repérer ces lignes, puis les comparer période par période aux virements de la CPAM.

Et si une période a été encaissée par votre employeur… mais non reversée ? Il faut pouvoir le démontrer avec dates, montants, justificatifs.

 

➡️​ Exemple 2 : Le maintien de salaire

Votre convention collective parle peut-être d’un maintien “à 100 %”.

Mais ce droit varie selon votre ancienneté, votre statut, les arrêts déjà indemnisés dans l’année.

Pour prouver une erreur ici, il faut aller chercher :

👉 La bonne section de la convention

👉 Calculer votre solde de droits

👉 Comparer avec ce que vous avez effectivement reçu

C’est la seule façon de montrer que le maintien a été écourté ou minoré à tort.

 

➡️​ Exemple 3 : Les absences déduites à tort

Les prolongations d’arrêt arrivent parfois après la clôture de paie.

Résultat : une même absence peut être déduite deux fois, sur deux mois différents, sans que personne ne s’en rende compte.

Pour le prouver, il faut recalculer toutes les proratisations, ligne par ligne, et s’assurer que la somme des déductions ne dépasse jamais votre salaire brut mensuel contractuel.

 

💡​ Ce que ça veut dire :

Les documents que vous envisagez de transmettre à votre employeur ne sont pas inutiles.

Mais ils sont bruts, éparpillés, et inexploitables tels quels — sans analyse.

 

Et tant que vous ne faites pas ce travail de mise en lien

👉 Vous n’avez rien de recevable à présenter.

👉 L’erreur reste une simple opinion.

👉 Votre demande ne sera même pas étudiée.

 

Et surtout : personne ne fera le travail pour vous. 😒​

Pour DEUX raisons simples.


​1️⃣ ➤ Parce qu’en arrêt, vous ne créez plus de valeur pour l’entreprise

C’est dur à entendre, mais c’est la réalité.

Quand vous êtes absente, vous ne produisez plus.

Vous ne contribuez plus aux objectifs de l’entreprise.

Donc, vous n’êtes plus une priorité.


Les RH doivent arbitrer en permanence : gérer les salariés présents, clôturer les paies, répondre aux urgences internes…

Et face à la charge quotidienne, ils se concentrent sur ceux qui sont là, pas sur ceux qui sont absents depuis trois mois avec une réclamation bancale, sans preuve claire ni structure.

👉 Votre dossier glisse en bas de la pile.

👉 Et même s’il y a une erreur, absolument personne ne la cherchera pour vous.

 

2️⃣​ ➤ Parce que vous devez leur mâcher le travail — sinon, rien ne bougera

Aujourd’hui, les services RH sont quasiment tous débordés, désorganisés et en sous-effectif.

Leur réalité : prioriser, traiter vite, verser les salaires à temps.

Pas se replonger dans des « cold case ».

Ils ne peuvent pas se permettre de :

​🚫 ​Lire des mails trop longs, approximatifs et remplis d’émotion

​🚫 Refouiller des dossiers clos depuis des semaines

​🚫​ Refaire des calculs « à votre place »

 

Et surtout, ils sont soumis à un biais cognitif puissant: le biais d’autorité.

Ils sont convaincus d’avoir bien fait.

Dans leur esprit : « On a suivi la procédure, il n’y a pas d’erreur ».

 

👉 Donc, ils ne revérifieront pas.

👉 Ils ne chercheront pas une deuxième fois.

 

Si vous ne leur présentez pas une preuve claire, chiffrée, documentée, compréhensible en deux minutes… rien ne se passe.

Ils ne vont pas perdre une heure à essayer de comprendre ce que vous n’arrivez pas à leur démontrer.

 

➡️ Et dans cette réalité-là :

Pas de démonstration solide = pas de régularisation. 


Ce que vous croyez suffisant ne l’est pas. 😳​

❌​ Faire un mail pour dire “il manque quelque chose” : trop vague

❌​ Envoyer une capture d’écran de votre compte bancaire ou d’un bulletin : pas exploitable

❌​ Citer la convention collective : inutile sans lien chiffré avec votre situation

 

Beaucoup abandonnent là.

Pas parce qu’elles ont tort.

Mais parce qu’elles ne parviennent pas à fournir une preuve indiscutable à un service RH sûr de lui.

↘️ Ne faites pas partie de celles qui lâchent à cette étape. 


La seule chose qui fonctionne : apporter la preuve vous-même. 🤓​

Pas un soupçon. Pas une présomption.

Une réclamation complète, structurée, chiffrée et sourcée, qui pose les faits noir sur blanc :

 

​ Ce qui aurait dû être versé.

✅​ Ce qui l’a vraiment été.

✅​ La différence, chiffrée.

✅​ Les textes exacts qui encadrent la situation.

 

👉 Objectif : MÂCHER LE TRAVAIL.

Votre réclamation est alors tellement claire et cadrée que même un RH débordé, sceptique ou pressé n’a plus qu’à constater l’erreur.

 

➡️​ C’est à ce moment-là que la situation bascule.

Votre demande devient incontestable.

Et la régularisation… inévitable. 


Ce que permet ce service. 😏​

Vous recevez une Lettre de demande de régularisation chiffrée, rédigée en votre nom par un expert paie spécialisé dans le recouvrement d’erreurs de rémunération liées aux arrêts maladie.

Un document professionnel de plusieurs pages, prêt à usage, qui contient tout ce qu’un service RH débordé a besoin de voir pour réagir rapidement :

✅ Compréhensible du premier coup, même par un RH débordé

✅ Prête à être transmise telle quelle à votre employeur (pas besoin de reformuler)

✅ Basée sur vos documents personnels : fiche de paie, relevé CPAM, contrat de travail…

✅ Appuyée par les textes officiels : Code du travail, Code de la Sécurité Sociale, Convention collective applicable…

✅ Structurée ligne par ligne, avec les écarts chiffrés, calculés et justifiés

 Documentée si besoin, avec des annexes pour appuyer les points-clés.

 

⚠️​ Ce document n’a pas de valeur juridique. Il ne contraint pas légalement votre employeur. ET C’EST JUSTEMENT CE QUI EN FAIT SA FORCE 🚀

Dans 90 % des cas, les personnes en arrêt n’ont ni le temps, ni l’énergie, ni le budget de se lancer dans une procédure juridique longue, coûteuse et incertaine.

Et les employeurs le savent.

👉 C’est pourquoi une démarche amiable, bien structurée, claire et argumentée, est souvent la voie la plus efficace pour obtenir une régularisation.

Elle permet de rétablir les faits sans tension, de manière posée, et de laisser à l’employeur une marge de réaction sans le placer sur la défensive.

👉 La lettre est donc toujours rédigée en votre nom — pas en celui d’un cabinet.

Faire intervenir un tiers de manière visible ou envoyer un courrier “au nom d’un cabinet” peut, selon les cas, tendre inutilement la situation, voire bloquer tout échange. L’objectif ici n’est pas de faire peur, ni d’imposer un rapport de force.

💡 La lettre est rédigée avec nuance, selon :

  • la nature de votre relation avec l’employeur (cordiale, distante, tendue)
  •  et ce que vous avez déjà tenté ou communiqué

Chaque mot est pensé pour ouvrir la porte à une régularisation, pas pour la fermer.

🤫​ C’est cette approche qui fait toute l’efficacité de la démarche.


Et ça fonctionne. 😁​

Des clientes ont pu récupérer 200 €, 700 €, 1 200 € — parfois plus — dans les semaines qui ont suivi.

🫸Sans hausser le ton.

🫸Sans menacer de poursuite judiciaire.

🫸Sans entrer en conflit.


Des erreurs, il y en a tous les jours. 🤔

Mais sans preuve, elles restent dans l’ombre.

Et plus le temps passe, plus elles deviennent irrécupérables.

Le nombre de salariées qui laissent passer une erreur faute de preuve est incalculable.


👉 Ne soyez pas l’une d’entre elles.

 

Le service est ouvert.

Ne laissez pas passer ce qu’on vous doit.

Obtenez la preuve. Faites valoir vos droits. 


✨ ​​BON À SAVOIR CONCERNANT CE SERVICE ✨​

▶️Ce service est la continuité directe du service de niveau 1.

Dans le service de niveau 1 [*] , une erreur de paie en lien avec votre arrêt maladie a été identifiée sur votre fiche de paie.

 

Elle concerne l’un (ou plusieurs) des points suivants :

👉​ Retenues sur salaire excessives pendant l’arrêt

👉​ Maintien de salaire écourté ou minoré

👉​ Indemnités journalières sous-évaluées

👉​ Indemnités non reversées en cas de subrogation

👉​ Reprise de trop-perçu infondée

👉​ Salaire net anormalement bas ou négatif

 

💡 Dans le cadre de ce service de niveau 2, notre rôle est de documenter précisément cette ou ces erreurs.

 

[*] service de niveau 1, intitulé "Je vais vérifier vos fiches de paie et confirmer s'il y a des erreurs.", disponible dans notre catalogue de services.

 

▶️ Tarif unique : 69,60€.

Ce tarif fixe couvre la rédaction complète de votre lettre, prête à usage, qu’il y ait une seule erreur ou plusieurs à documenter.


🚫​ Aucun surcoût.

🚫​ Pas d’option additionnelle.


ℹ️​​ Un ajustement de la lettre est possible après livraison,

si vous souhaitez modifier une formulation, retirer un passage ou ajouter un élément mineur.

Nous réalisons alors une révision unique, incluse dans le prix. Cette relecture est limitée à une seule demande et ne couvre pas l’analyse de nouveaux documents ni la réécriture complète de la lettre.

⇨ Elle vise uniquement à adapter légèrement le contenu avant transmission à votre employeur.

 

➤ En cas de demande plus étendue (nouveaux documents, changement de structure, reformulation globale), une facturation complémentaire pourra être proposée, à partir de 20€, après évaluation du travail à réaliser.

 

▶️ Déroulement de la commande.

1️⃣ Contactez-nous

Munie de votre Attestation de Vérification Paie (délivrée à l’issue du service de niveau 1).

2️⃣ Indiquez-nous

L’erreur (ou les erreurs) que vous souhaitez faire documenter dans votre lettre.

3️⃣ Transmettez vos documents

Nous vous indiquerons les pièces nécessaires en fonction de votre situation.

4️⃣​ Analyse et rédaction

Nos experts analysent vos éléments et documentent en détail chaque erreur identifiée.

​5️⃣​ Livraison de votre lettre

Vous recevez une lettre claire, structurée et prête à être transmise à votre service RH.

 

▶️ Qui nous sommes (et ce que vous devez savoir). 

La Règle Officielle, c’est un service indépendant d’expertise paie, spécialisé dans la détection et la documentation des erreurs de rémunération liées aux arrêts maladie.

Nous intervenons en amont de toute démarche juridique, dans un cadre 100 % amiable, pour vous permettre de récupérer ce qui vous est dû — sans tension ni procédure.

 

Notre travail : traduire une erreur technique en un document clair, chiffré et recevable par un service RH.

Pas d’automatisation, pas de modèle générique. Chaque cas est analysé à la main, en tenant compte de vos droits, de votre convention collective, et de votre situation personnelle.

 

⚠️​ Important à savoir :

👉 Nous ne sommes ni un cabinet d’avocats, ni un service de l’État, ni un organisme syndical.

👉 Nous n’effectuons aucune action en justice ou procédure contentieuse.

👉 Le document fourni n’a pas de valeur juridique, mais il est structuré pour faciliter une régularisation amiable.

 

Notre objectif est simple : vous aider à être entendue — avec des faits, des chiffres, et un cadre clair. 

 

▶️ Des questions ?

Si vous avez des questions, n'hésitez pas à nous contacter.

 


FAQ

Faire vérifier sa fiche de paie : pourquoi est-ce essentiel ?

Faire vérifier sa fiche de paie peut sembler anodin, mais c’est une démarche cruciale pour tout salarié. En effet, les erreurs de paie sont plus fréquentes qu’on ne le pense : erreurs de calcul, retenues injustifiées, oublis d'indemnités, mauvais maintien de salaire en cas d’arrêt maladie, etc. Ces erreurs peuvent coûter cher et s’accumuler au fil des mois, réduisant le montant de la rémunération sans que le salarié ne s’en aperçoive. En faisant vérifier sa fiche de paie par un expert indépendant, on s'assure que chaque euro est correctement comptabilisé, selon les règles de sa convention collective et la législation en vigueur. Cela permet non seulement de récupérer les sommes dues en cas d’erreur, mais aussi de mieux comprendre ses droits. Pour éviter les mauvaises surprises et défendre ses intérêts, la vérification de sa fiche de paie est une étape essentielle !


Qui peut vérifier ma fiche de paie ?

La vérification d’un bulletin de salaire en arrêt maladie peut être effectuée par différents professionnels, selon votre besoin : simple explication, vérification technique ou démarche juridique. En premier lieu, vous pouvez vous tourner vers votre employeur ou le service RH, qui ont l’obligation de vous expliquer les montants inscrits sur vos fiches de paie. Si vous souhaitez un regard plus neutre et structuré, un expert en paie peut analyser vos bulletins pour détecter d’éventuelles erreurs ou incohérences. Pour une vérification plus formelle, notamment en vue d’une action aux prud’hommes, un expert-comptable est habilité à établir un rapport recevable juridiquement. Un avocat en droit du travail pourra ensuite s’appuyer sur ce rapport pour défendre vos droits. Il est également possible de consulter des structures gratuites comme les syndicats, les Maisons de Justice et du Droit ou les Points d’Accès au Droit, qui peuvent vous orienter vers les bons interlocuteurs. Enfin, l’inspection du travail peut intervenir en cas de manquement grave, mais ne réalise pas d’analyse détaillée des bulletins.


Non-paiement des indemnités journalières par l’employeur : quel recours possible ?

Lorsque vous êtes en arrêt maladie, votre employeur peut percevoir directement vos indemnités journalières de Sécurité sociale (IJSS) si la subrogation est mise en place. Dans ce cas, il doit vous reverser les IJSS via votre fiche de paie. Si ce reversement n’apparaît pas clairement ou si le montant est incomplet, il peut s’agir d’une erreur ou d’un oubli de traitement. En cas de non-paiement des indemnités journalières par l’employeur, plusieurs recours sont possibles : demander une explication à votre service RH, solliciter un expert paie pour analyser vos bulletins, ou faire appel à un expert-comptable si vous envisagez une procédure juridique. Il est également possible de consulter un avocat en droit du travail pour entamer une action aux prud’hommes en cas de litige. Avant tout recours, il est essentiel de vérifier objectivement s’il y a réellement un écart entre les IJSS versées par la CPAM et ce que l’employeur vous a reversé.


Où faire vérifier ses fiches de paie gratuitement ?

Si vous avez un doute sur votre fiche de paie — par exemple en cas d’arrêt maladie ou de non-versement d’indemnités journalières par votre employeur — plusieurs solutions gratuites existent pour obtenir un premier avis. Vous pouvez contacter des structures publiques comme les Points d’Accès au Droit (PAD), les Maisons de Justice et du Droit, ou certaines permanences syndicales. Ces dispositifs sont facilement trouvables en tapant sur Google des mots-clés comme “vérifier fiche de paie gratuitement + votre ville”.

Pour les salariés du privé en arrêt maladie prolongé, il existe aussi une permanence en ligne spécialisée : la permanence gratuite IJSS proposée par La Règle Officielle. Elle est accessible sans rendez-vous, deux fois par semaine, et permet une vérification rapide, confidentielle et 100 % amiable de vos bulletins de paie. Pour la trouver facilement, tapez sur Google : “vérification fiche de paie gratuite + La Règle Officielle”.



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